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Les leçons de séduction de la Gen Z

Ils ont 18, 20 ou 25 ans. Tombés dans la marmite du digital à leur naissance, biberonnés aux réseaux sociaux, ils envisagent le monde sous le prisme de nouvelles priorités, de nouvelles visions. Et la séduction dans tout cela ? En ce mois où l’on fête l’amour, on a eu envie de décrypter leur mode de fonctionnement.

La frontière entre l'amitié et l'amour...

Les contraintes ? Connais pas. Le couple ? Rien ne presse, il faut d’abord définir le niveau de « situationship », en gros déterminer la zone grise entre amitié, doublée ou non de sexe, relation occasionnelle, libre ou officielle. Et l’amour ? Il commence par celui de soi non ? On l’aura compris, l’amour n’est pas la priorité absolue de la Gen Z. Il ne viendrait même qu’en quatrième position, loin derrière la relation à soi, celle avec sa famille et ses amis. Et pourtant, nos petits frères et nos petites sœurs adorent les applis de dating, chater et « se chercher » sur les réseaux sociaux. La suite, c’est plus compliqué…

Romantiques mais pragmatiques, ils croient au coup de foudre mais se rencontrer en vrai n’est pas l’urgence : la voix. On tâte le terrain en échangeant durant des semaines sur TikTok ou Instagram, on se parle, on se laisse des voice notes car la voix, voilà ce qui les fait vibrer, ce qui stimule leur imaginaire, ce par quoi passe au tout départ leur séduction.

« Tout le monde utilise des filtres photo, alors comment veux-tu réellement savoir à quoi ressemble vraiment ton crush ? Au moins la voix ne trompe pas et puis, elle ouvre le champ des possibles. Je peux passer des heures à écouter une voix qui me plaît, à parler même si c’est encore une inconnue. En général, je sais déjà si la rencontre ensuite se passera bien ou pas » affirme Emilio, 19 ans.

Et quand il faut passer du virtuel à la réalité justement...

Comment font-ils pour se séduire ? « Les petites attentions, un bouquet de fleur ou la délicatesse de se charger de l’addition feront évidemment marquer des points, c’est certain » assure Alisson, 21 ans qui, de son côté, aura elle aussi fait un effort sur son look. « Mais sans trop en faire, je ne veux pas être quelqu’un d’autre. Juste être bien, en accord avec moi. » Quel que soit son style ou ses habitudes, pas de tromperie sur la marchandise, c’est désormais la règle, baptisée Bae-Realing.

Il n’empêche qu’un jeu de regards, un geste les fera aussi succomber tant qu’il reste sincère et authentique.

Comme quoi, de génération en génération, une étincelle de magie ne fait pas de mal et peut parfois faire apparaître le partenaire idéal.